Collection Sm. On SEst Aimé À 16 Ans (1/3)
Jade, toi ici, à la caisse du supermarché de notre petite ville ?
Bonjours Gabriel, depuis combien de temps, six, sept ans que tu es parti pour tes études à Lyon.
Jai su que tu avais été dans une école darchitecture.
Pour ma part, je suis restée ici.
Ce supermarché appartient à la sur de maman qui tenait la petite supérette près de la mairie.
Elle a eu lopportunité de prendre la gérance de ce bel ensemble avec galerie marchande et moi je lai suivie.
Au centre-ville, elle perdait de largent.
Je vois que tu as une alliance, il y a longtemps que tu es mariée !
Deux ans, je lai rencontré lors dun ennui avec ma voiture et il ma épousé très rapidement.
Tu le salueras de ma part, bien sûr si tu lui as dit pour nous.
Je le ferais dans trois jours, il est en déplacement en semaine, il est chauffeur poids lourds.
Tu es libre ce soir, nous pourrions dîner ensemble à moins que tu aies peur des ragots de nos petites villes.
Je suis à lhôtel des trois veneurs, on ma dit quils avaient une très bonne carte encore mieux que celle davant mon départ.
Tu es descendu aux trois veneurs, Charles ma dit quil my emmènerait pour nos 50 ans de mariage.
Quant aux ragots, après ton départ et notre séparation, disons que jai cherché ce qui me manquait et je suis passée pour une belle salope.
Ça cest tassé depuis mon mariage.
Eh bien, d'accord, je retiens une table pour 20 heures, veux-tu que je vienne te chercher.
Pour manger chez Pierre-Yves, jirai à quatre pattes jusquà son restaurant.
Le temps de fermer ici, 21 heures, je serais à la porte du restaurant.
De mémoire, cétait à quatre pattes que tu aimais faire la brouette espagnole, Jade.
Ça a été ta seule fantaisie.
Attention, voilà une mémé, parlons moins fort.
La mémé Louise, elle est sourde comme un pot, tu peux parler, elle va payer et partir sans un mot.
Dit à Gabriel mémé que tes sourde !
Comment !
Tu vois, rien à craindre, pour toi, cest 2 .
À ce soir.
Je paye ma brosse à dents que jai oubliée en partant ce matin de Lyon ou jai ouvert un cabinet darchitecte après mes cinq ans détudes.
Jai fait obtenu un diplôme dÉtat darchitecture, DEA, équivalant au master dans dautres spécialités.
Jai répondu à un concours après avoir acquis mon diplôme et je lai remporté.
Le prix substantiel ma permis de créer mon cabinet qui marche du feu de Dieu.
Si je suis ici dans la ville où je suis né, cest que jai perdu une grand-tante et que nous lavons enterrée cet après-midi.
Jai quitté cette ville de bouseux et dès que je le peux je vais retourner dans notre grande ville.
Jai perdu lhabitude de marcher dans la merde et les matins de me réveiller avec le chant du coq de nos voisins.
Avant jétais basket et Jean, maintenant je porte un costume trois-pièces avec chaussures italiennes que je renouvelle chaque fois que je suis en affaires surtout à Milan.
Jade, je suis dans ma chambre au-dessus du restaurant allongé sur mon lit, jai simplement ôté mes chaussures et je rêve à notre jeunesse.
Je me souviens du jour où la plus jolie fille de notre ville ma offert son pucelage.
Javais de lexpérience, un mois avant javais sauté sa tante dans la remise de son arrière-boutique sur la réserve à patates.
Je savais être tendre avec les femmes comme me lavait apprise Huguette.
Bien sûr, être tendre sur des sacs à patates pour la tendresse vous repasserez.
Quand un mois après, Jade a voulu que je lui enlève son pucelage dans sa chambre de jeune fille, malgré sa famille, je me suis laissé tenter.
Huguette, elle était vieille et il a été facile de la séduire, mais Jade tous les jeunes de la ville bavaient devant son joli cul.
Jaurais voulu être plus démonstratif dès la première fois et par respect pour sa virginité je suis resté très sélecte.
Je lui ai pris tout en douceur alors quelle membrassait fougueusement.
Dès ce jour, nous nous affichions partout dans les lieux à la mode en faisant baver tous ceux qui avaient eu lintention de la sauter.
Notre relation a duré toute lannée du bac, chez elle ou chez moi chaque fois que nous étions seuls.
Nous étions jeunes, mais jétais sûr que lamour que je lui portais cétait pour la vie.
Du moins je le croyais.
Un jour voilà comment les choses se sont passées.
Jade, je vais rentrer dans une école darchitecture à Lyon, jai regardé sur Internet, il y a une École des beaux-arts où tu pourrais tinscrire.
Deux choses, Gabriel, je suis obligé de travailler chez ma tante alors les beaux-arts, même si je suis passionnée de peinture, cest pour dautres que moi.
Ça cétait le premier motif, lautre, cest que nous sommes trop jeunes et je te quitte.
Voilà comment je me suis fait larguer.
Bon à Lyon avec ma belle gueule, je lai vite remplacé, plutôt souvent même, très très souvent même au point quavec les copains et les copines, jétais surnommé « Nique quun coup. »
Mais au fond de moi jai été marqué par son abandon.
Javais tout bien fait comme me lavait apprise sa tante et, pourtant elle me larguait.
À cinq minutes de 21 heures, je suis dehors à attendre Jade.
Je suis appuyé sur la nouvelle voiture que je viens dacquérir, une BMW I3 électrique que jinaugure aujourdhui.
Jai troqué mon trois-pièces pour un Tergal, chemise blanche et pull mollement jeté sur mes épaules.
Elle arrive, dans une tenue à faire bander un mort.
Remettre le couvert une dernière fois et la bousculer comme je sais le faire, pardon que jadore le faire, ça permettrait à ce voyage ennuyeux de se terminer agréablement.
Alors, cest à la hauteur de ce que tu pensais ?
Mieux, quand je vais dire à Charles que jai mangé ici, il sera jaloux.
Justement, je vois une trace brune sur ton poignet, il te bat !
Elle a un blanc dans sa réponse.
Je pense que tu te demandes pourquoi un jour je tai quitté lorsque nous avions 17 ans.
Oui, jai eu du mal à men remettre.
Tout étant proscrit, jai toujours pensé que tu avais su pour ta tante et moi pourtant on avait été discret.
Elle éclate de rire, faisant se retourner tous les convives.
Tu as couché avec tantine, moi qui la prenais pour une none.
Je lui évite les sacs à patates, elle semble bien le prendre.
Cest elle qui ma appris à être doux avec les femmes.
Cest trace sur mes poignets, regarde lautre est un peu moins marqué.
Cest la cause de mon départ, je dirais plutôt de ma fuite.
Je sentais en moi le besoin de sexe plus violent, mais je savais quavec ta gentillesse, tu étais bien incapable de mapporter ce genre de besoin que certains appels malsain.
Jai besoin dêtre maltraité pour être moi-même.
Mais,
Non, tais-toi, pour une fois que jai loccasion de livrer ce qui a tourmenté ma vie, à la seule personne aimée et à qui jai donné ma virginité, laisse-moi mexprimer.
Bien, je suis à ton écoute.
Les premières fois que jai eu un rapport sexuel avec toi, jai beaucoup aimé cette douceur, mais elle est très vite devenue insupportable.
Tu aboyais et tu faisais tout ce que je te demandais.
Dans la vie et rapidement au lit.
Je rêvais de baise sur la table de la cuisine avec tes mains marquant mes fesses, mais chaque fois que jai essayé de te le dire, tu me ramenais dans ma chambre sous couvert que quelquun aurait pu entrer.
Je te rappelle que nous sortions de ladolescence et que nous savions que ce que nous faisions, était proscrit par nos familles.
Je te protégeais.
Dommage, mais jai vu la possibilité de vivre une vie plus conforme à mes envies si jen cherchais un autre plus entreprenant.
Tu las trouvé !
Si Charles est celui-là, oui.
Si Charles peut être lamour de ma vie, non.
Que te fait-il ?
Ça !
Jade soulève sa brassière noire constituant son haut.
Ses seins que jai connus juvéniles ont pris du volume.
Je suis à deux doigts davancer ma main pour les saisir, mais ce que je vois marrête.
Deux piercings traversent ses fraises et ils sont transpercés à plusieurs endroits.
Des marques de brûlures certainement avec des cigarettes ou de la bougie.
Elle rabaisse son haut assez vite pour que les personnes non loin de nous puissent voir ce que jai vu.
Cest un sadique, je vais attendre son retour et lui casser la gueule.
Non, tu te trompes, après tavoir quitté, jai cherché ce genre dhomme capable de faire de mon corps sa chose.
Il me fallait un sado, car je venais de découvrir que jétais maso.
Jai couché avec une ribambelle de types de tout genre.
Au début, je cherchais des grosses queues persuadées quelles allaient me faire atteindre les plaisirs que mon cerveau recherchait.
Au super marché de ta maîtresse, je tai dit que
Rapidement jai su que mon mal était plus profond et jai trainé à la limite de me prosti et un jour jai rencontré Charles, javais crevé et il sest proposé pour me changer ma roue.
Cest là quavec lui ça a commencé.
Je tai dit qua la longue et toutes les frasques je commençais à faire mauvaise presse à ma tante et comme il a su mapporter ce que javais besoin, je lai épousé.
Dis-moi, ce soir tu as prévu de me faire monter dans ta chambre et me sauter une dernière fois !
Euh !
Je vois, emmène-moi chez moi, cest seulement dans ma pièce que Charles ma construite que je prends mon pied.
Es-tu partant ?...
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